En réponse à :
Il y a dans l’air printanier comme un parfum, un relent plutôt, d’avril 2002. Il fallait alors choisir entre la Démocratie ou la descente aux Enfers : Chirac ou Le Pen. Trois ans plus tard nous sommes convoqués pour une nouvelle échéance historique : la Constitution européenne ou la Pétaudière nationale. Comme en avril 2002, point de drame, tout juste une farce sinistre. Mais parions que les médias feront hurler les démocrates bon teint à la mort (voir article dans ce numéro sur la (...)