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Un mois après le soulèvement de Benghazi, les Libyens découvrent que le monde entier s’intéresse à leur sort et travaille d’arrache-pied pour les sauver des griffes d’un dictateur grotesque et excentrique, comme le désignent les journalistes. Les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, le conseil de coopération du Golfe, la Ligue Arabe, l’Union Européenne, le conseil de sécurité de l’ONU, Bernard-Henri Levy ; il ne manque plus que le dalaï-lama et le pape. On n’a pas vu une telle (...)