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Les derniers événements dans le monde arabe et en Afrique du Nord, nommés par les journalistes « printemps arabe », ont montré clairement, depuis près de deux ans de mouvement, qu’un « changement » est possible dans une société sclérosée par la corruption quand les gens le souhaitent et en paient le prix, mais aussi que ce « changement » ne garantit pas la satisfaction des revendications populaires, englobées dans l’expression « changement »