En réponse à :
Alors, comme ça, vous avez fondu sur Poitiers à la Cosaque à l’occasion d’une manif contre les prisons ! Vos chevaux piaffants ont piétiné son ventre bourgeois ; vos sabres ont éventré sa « matrice ». Vous êtes les Attila de notre époque Néronienne. Derrière vous, les pelouses synthétiques ne repoussent plus.
Tant pis si ceux dont vous avez coucoufié le mouvement ont pris, suite à cela, de méchantes baffes. C’était des cons, trop mous, trop gentils. Vous leur avez montré ce que c’est qu’être un révolutionnaire radical. Qu’importe ce qui a pu leur tomber sur la gueule après votre (...)