En réponse à :
Les syndicats lycéens sont des fictions, certes.
Mais la FIDL a annoncé la fin du mouvement simplement après avoir vérifié qu’il ne repartait pas dans la région parisienne ; cette "décision" ne fut qu’ un constat utilisé par ces jeunes manoeuvriers bien conseillés. La question de la faible mobilisation parisienne après les vacances de Pâques reste entière. La question est aussi qu’au-delà de la critique des coordinations locales, où des jeunes se préparant à des luttes de pouvoir peuvent se retrouver en effet, et des limites des coordinations nationales lycéennes, il y a le fait que le (...)